Monsieur Jean-Christophe Cambadélis parle du "Précariat":
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Cambadélis veut mettre le "précariat" à l'agenda de 2017
Jean-Christophe Cambadélis publie samedi un opuscule, "Brissy-sous-Bois ou les oubliés de la République", dont l'objectif est de mettre la question du "précariat" au coeur du prochain quinquenn...
http://www.france24.com/fr/20161231-cambadelis-veut-mettre-le-precariat-a-lagenda-2017
Monsieur Jean-Christophe Cambadélis parle du "Précariat":
appellation formée à partir du mot précarité et prolétariat, définissant les "travailleurs précaires" come une nouvelle classe sociale.
Monsieur Jean-Christophe Cambadélis veut mettre la question du "précariat", au cœur du prochain quinquennat.
Alors, pourquoi ne pas avoir traité ce sujet en amont, durant les cinq années du mandat de la gauche:
- Pourquoi vouloir brandir l'étendard de la précarité qu'aucune mesure prise par la gauche, n'a réussi à supprimer;
- Pourquoi devrions nous croire que la gauche réussirait à résoudre les problèmes d'emploi dans le prochain quinquennat, alors qu'elle ne l'a pas résolu dans le précédent;
- Pourquoi se servir des "travailleurs précaires" comme motif de la campagne des primaires de la gauche, alors qu'ils n'ont pas su défendre les plus démunis d'entre nous;
- Pourquoi la gauche serait mieux à même de résoudre le problème des "travailleurs précaires" et qu'elle réussirait aujourd'hui, ce qu'elle n'a pas réussir hier.
Nous voulons un changement radical, dans la méthode, la doctrine, les décisions, afin que notre pays crées d'avantage de richesse qui sont les seules gages de réussite.
Si la gauche a échoué, laissant un grand nombre de nos concitoyens sur le bord du chemin, la décence voudrait qu'elle reconnaisse son échec et qu'elle laisse à d'autres la possibilité de réussir, là où ils ont échoué, assurer à chacun la possibilité de vivre dignement du fruit de son travail.
Or, Monsieur Cambadélis, joue avec la peur, en citant le programme effrayant de François Fillon.
Le temps de la gauche est révolu, l'avenir de notre pays doit changer d'orientation et les électeurs auront à faire un choix, soit continuer dans le déni soit se tourner résolument vers l'avenir d'un monde meilleur et non pas vers le déclin.